Rodez : une organisation bien rodée

Sport
Cet article a été publié le : 22 mars 2011 à 8h07
Rodez : une organisation bien rodée


Le concours International du week-end dernier s’inscrit pour le Domaine de Combelles dans le cadre de

la Grande Semaine du Concours Complet de Rodez-Combelles. Ainsi jeudi et vendredi, les cavaliers se retrouveront pour un concours de jeunes chevaux, suivi le week-end prochain par le Grand Régional Midi-Pyrénées, un circuit en trois étapes pour les Amateurs et les Pros. Cela nécessite donc une préparation importante puisqu’il s’agit de 10 jours de compétition quasi-continue.

Au total, pas moins de 100 bénévoles participent au bon fonctionnement du concours. Ils sont encadrés par Marie-Claire Boussignac, la Présidente de l’Association du Club Hippique de Combelles. Une bénévole qui était posté à un point de contrôle du cross le samedi nous raconte : « Chaque année, nous participons à l’organisation de ce concours. Nous le faisons pour aider le club parce que sans nous, il n’y aurait plus de concours. C’est une organisation bien huilée puisqu’on garde souvent les mêmes postes, donc on sait exactement quoi faire. En en plus ça se fait dans une très bonne ambiance! »

Le dimanche, une représentation des « Cavaliers du Grand Rodez » (le nom de scène des cavaliers du Domaine de Combelles) a eu lieu dans la carrière de dressage avant la remise des prix. Ces enfants nous ont montré des talents déjà bien avancés (cf photo ci-dessus), le tout avec une touche d’humour bienvenue.

Nicolas Burtin conclut : « En tant qu’organisateur, je suis très satisfait du concours, et notamment du plateau de cavaliers. On est un peu déçu que la météo ait fait fuir Jean Teulère, mais chacun fait ses choix en fonction de son ressenti, des chevaux et des impératifs de calendrier. Pour l’anecdote, nous avons eu deux petits problèmes avant le concours : la cavalière Finlandaise n’ayant pas pris la bonne sortie, elle s’est retrouvée perdue avec son camion à la gare de Rodez en plein milieu de la nuit! Il a donc fallu que je vienne lui indiquer le chemin parce que par téléphone ce n’était pas évident… La deuxième anecdote est en fait la galère de Nicolas Touzaint, dont les deux pneus ont éclaté à la hauteur de Clermont-Ferrand. On lui a donc trouvé des solutions à distance en appelant des dépanneurs, etc. C’était plutôt épique! »

Article de Hedwige Favre