Le cavalier un sportif de haut niveau trop souvent ignoré

Sport
Cet article a été publié le : 02 août 2012 à 8h56

Les Jeux Olympiques de Londres 2012 qui mettent à l’honneur les sports équestres, est l’occasion d’aborder le statut d’athlète de haut niveau des cavaliers. Il est souvent d’usage de dire qu’en équitation, seul le cheval est un athlète. Même si la plupart des cavaliers sont d’accord pour réfuter cela, très peu d’entre eux se comportent finalement comme de véritables athlètes, dans le sens où préparation, physique ou mentale, échauffement, récupération, etc. ne font pas partie intégrante du quotidien de ces sportifs.

Un dossier réalisé à partir des derniers résultats de la recherche scientifique sur « Le cavalier,  un sportif de haut niveau trop souvent ignoré » a été publié

dans  la revue Equ’idée de l’été 2012 : ici.

Sommaire :

–      Existe-t-il des problèmes de santé spécifiques aux cavaliers ?

–      La performance résulte du niveau de préparation physique et psychologique du cavalier

–      Quel est le niveau de dépense énergétique des cavaliers ?
=> Pour les cavaliers de CSO
=> Pour les cavaliers de dressage

–      L’accompagnement psychologique du cavalier

–      Pourquoi un cavalier « expert » est-il plus performant ?
=> Effet de l’expertise sur la stabilité du cavalier
=> Effet de l’expertise et de la fatigue sur la biomécanique du couple cavalier/cheval en compétition d’endurance

–      La mesure au service de la performance

–      Métiers du cheval, associer travail, santé et performance


(Sources communiqué)