Le jeu de l’alphabet avec François de la Béraudière
Ce n’est pas irrévérencieux. François de la Béraudière n’est pas le metteur en scène du plus grand concours au monde. Il a au moins le mérite, avec ses collaborateurs et bénévoles, d’offrir au cheval un terrain d’expression, aux spectateurs le bonheur de vivre des moments uniques. A Melay, du 16 au 18 juillet, et pour la 45e fois, ce concours sera le miroir qui renvoie l’image des ces organisateurs bénévoles et passionnés sans qui le sport équestre ne vivrait pas.
A comme âge. Le concours de Melay fête, cette saison, son quarante-cinquième anniversaire.
B comme boisé. Un concours qui bénéficie d’un cadre à la hauteur de l’événement, très boisé et agréable en cette période estivale.
C comme chaleureux. Le qualificatif que l’on s’efforce d’accoler, le plus possible, à notre accueil.
D comme dénivelé. Le propre de la topographie de notre terrain du Domaine de Bouzillé.
E comme élevage, amateur, et pro. Tout au long de ces trois jours de compétition, l’on s’ingénie, chaque année de réunir toute la famille équestre : du dressage au concours complet, en passant par le saut d’obstacles.
F comme festif. Comme doit être tout concours hippique pour les spectateurs et aussi les cavaliers.
G comme galanterie. Le propre des femmes et des hommes de chevaux.
H : comme haletant. Que le spectacle couple le souffle de tout un chacun : spectateurs, juges, entraîneurs, propriétaires.
I comme intense. Que le concours soit, c’est notre vœu le plus cher, d’une grande force.
J comme joyeux. La qualité que le sport en général, du sport équestre en particulier génèrent ou du moins devraient-ils le générer. L’occasion de rompre avec le train train quotidien.
K comme k’alité. Jeu de mot. Qui englobe en fait, tout ce que je viens d’évoquer plus haut.
L comme loyauté. Ou la fidélité que l’on doit à toutes celles et ceux qui concourent à la réussite de notre rendez-vous. Une nécessité pour que l’événement devienne pérenne.
M comme Melay. Une jolie petite commune de 1420 habitants, coincée entre Cholet et Angers, où l’on vous promet, Melayonaises et Mealyonais, un bel et sympathique accueil.
N comme nouveautés. Toutes celles dont est truffée le concours cette saison : au niveau de l’accueil, des parcours…
O comme original. Comme son nom l’indique, un concours qui semble organisé pour la première fois, non copié, unique.
P comme panoramique. Tout a été imaginé pour que chacun ne perde une seule miette du spectacle. Je veux parler des parcours dessinés pour les trois catégories du concours : dressage, saut d’obstacles, complet.
Q :comme quelles journées. Que le concours laisse à chacun des souvenirs impérissables. Un bon goût en bouche, comme celle d’un grand cru.
R comme R..A..S. Notre vœu le plus cher, aussi, que l’on enregistre aucun incident notoire, et ne souffre que d’infimes critiques.
S comme sobirété, sécurité. Que l’on reste dans la mesure et la modération. Sachant que quel quoi soit le succès de ce concours, il faudra, dès le lendemain, remettre l’ouvrage sur le métier : penseer à la 46e édition. Sécurité : Cette attention que nous apportons sur la construction des obstacles pour parer à tout incident.
T comme talentueux. La qualité de tous nos cavaliers qu’ils soient amateurs ou professionnels.
U comme unique. En ce sens que ce concours soit l’expression de notre personnalité.
V comme vainqueur. Ceux qui nous offrent l’occasion de s’enthousiasmer, de rire et de pleurer. Des vainqueurs qui ne doivent toutefois pas nous faire oublier tous les concurrents. Quelle que soient leurs performances, ils méritent notre attention.
W comme Welcome. L’invitation est lancée. Nous vous attendons nombreuses et nombreux les 16, 17 et 18 juillet prochain à Melay sur le domaine de Bouzillé.
X comme XXL. Que ce concours soit une nouvelle et belle grande édition.
Y : comme You can. Tous ensemble, on peut offrir une belle image du concours complet.
Z : comme Z’enial. Le bon mot de la fin en fait. En espérant qu’il soit prémonitoire.
François de la BERAUDIERE avec Guy FICHET.