L’officiel de France : Michael Jung occupe le podium avec ses 3 chevaux!

Aujourd’hui avait lieu le cross du CICO*** et Michael Jung nous a prouvé qu’il n’était pas seulement un dresseur hors pair mais aussi un excellent pilote sur le cross. Il parvient à boucler ses 3 parcours sans-faute et se classe donc  provisoirement 1er avec La Biosthétique Sam, 2ème avec Weidezaunprofi’s River of Joy et 3ème avec Leopin. Clayton Fredericks reperd une place avec Brookleigh en raison de 3 points de temps dépassé.

Denis Mesples, qui avait deux chevaux dans l’épreuve, nous donne son avis sur ce parcours :

« Le cross n’était pas facile, seuls 4 cavaliers rentrent dans le temps, dont Jean-Luc Goerens et Stanislas de Zuchowicz. Il y a beaucoup d’incidents. Jean Teulère par exemple est tombé avec Lascar de Kergoet sur la haie de biais en n°18. Le cheval n’a pas compris et s’est arrêté au dernier moment. Moi-même, je suis sans-faute avec Oregon de la Vigne mais pas dans le temps, et Maestro du Hamel dérobe à deux reprises. »

Le meilleur français reste Didider Dhennin et Must des Surreaux, toujours 9ème malgré 20 secondes de temps. Juste après, c’est Stanislas de Zuchowicz qui remonte dans le classement.

Pour voir les résultats du CICO*** par équipe : ici

Michael Jung s’est aussi imposé dans le CCI* en tenant la 1ère place avec Vincent et la 2ème place avec Rocana. Derrière lui, 6 français parviennent à se classer dans les 10 premiers : Eric Vigeanel, Alexandra Bourreau, Robin Boulanger, Geoffroy Soulez, Arthur Bonneau et Karim Florent Laghouag. Dans cette épreuve, l’essentiel du classement s’est joué sur le dressage puisque sur les 20 cavaliers classés, seuls 2 couples ont quelques petits points de pénalité de temps.

Pour voir les résultats complets du CCI* : ici

Le CIC* continuait aujourd’hui sur le CSO qui a permis là encore beaucoup de sans-faute. Andreas Ostholt garde la tête du provisoire avec So Is Et, devant Aurelien Kahn avec Princess Pilot et Eddy Sans avec Kramique.

Pour voir les résultats complets du CIC* : ici

Article de Hedwige Favre